La Bourse de Paris, traditionnellement ouverte du lundi au vendredi, sera fermée six jours fériés en 2025, conformément à son calendrier pour 2024. En revanche, elle sera ouverte le 14 juillet, lors de la fête nationale, ainsi que le 11 novembre, à l’occasion de l’armistice de la Première Guerre mondiale. Ce nombre de jours fériés reste constant par rapport à l’année précédente, alors qu’il était de cinq en 2023 et de trois en 2022 et 2021. Il est important de noter que le calendrier des jours fériés de la Bourse ne coïncide pas toujours avec celui des Français en général.
En détail, la Bourse de Paris sera fermée aux dates suivantes :
– 1er janvier (jour de l’An)
– 18 avril (vendredi Saint)
– 21 avril (lundi de Pâques)
– 1er mai (fête du Travail)
– 25 décembre (Noël)
– 26 décembre (pont de Noël)
À l’opposé, elle sera ouverte le 8 mai (armistice de la Seconde Guerre mondiale), le 29 mai (Ascension), le 9 juin (Pentecôte), le 14 juillet, le 15 août (Assomption), le 1er novembre (Toussaint), et le 11 novembre. Cependant, il est à prévoir que les volumes d’échanges soient réduits à ces dates. De plus, la Bourse clôturera plus tôt (vers 14h) les 24 et 31 décembre.
Les autres marchés d’Euronext, notamment Amsterdam, Bruxelles et Lisbonne, suivront le même calendrier de fermetures que Paris. En revanche, la Bourse de Dublin observera un jour férié supplémentaire, le 5 mai, tandis que Milan en aura deux (le 15 août et le 24 décembre). La Bourse d’Oslo se distinguera avec quatre jours fériés supplémentaires, incluant le Jeudi saint et le 24 décembre.
Comparativement, Wall Street aura droit à 10 jours fériés en 2025, offrant ainsi une plus grande flexibilité par rapport à Paris. De son côté, la Bourse de Londres sera fermée huit fois en semaine durant l’année.
En résumé, bien que la Bourse de Paris connaisse un nombre stable de jours fériés par rapport à 2024, ces fermetures s’inscrivent dans un contexte où d’autres places boursières, comme celles d’Amsterdam et de Londres, affichent des calendriers variés. Les acteurs économiques doivent donc s’y adapter, en tenant compte des impacts potentiels sur les volumes d’échanges, qui pourraient être influencés par ces jours de fermeture.